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Manque de classe

Alors voici le navet élu pour la semaine de la  fin octobre. J'ai décidé d'offrir mon navet à certains étudiants de l'Uqam qui ont commis le vandalisme au deuxième étage du pavillon Hubert Acquin. C'était pas précisément la semaine dernière, mais bon moi j'ai vu ça dans le Journal de Montréal la semaine passé, alors je respecte le concept de notre blogue........(Blague à prof Marjo). Selon la direction de l'Uqam, il en coûtera entre 35 000$ et 40 000$ pour tout nettoyer et repeindre.On peu bien contester, mais là vous montrer plutôt que vous savez pas vivre. Un manque de classe total. Je vous reviens ce soir pour vous faire par de ma personnalité de la semaine.

Simon

Ecrit par Simon Dessureault, le Lundi 1 Novembre 2004, 22:06 dans la rubrique "Les choix de Simon".

Commentaires :

chameau
03-11-04 à 20:22

Les murs coûtent chers!

L'UQAM s'apprête à faire payer 50 000 $ aux étudiants qui ont fait des graffitis sur les murs de l'école. Selon l'organisme responsable de cette manifestation, 50 000$ est un montant quelque peu exorbitant compte tenu des résultats. Selon l'UQAM, l'effacement des graffitis requiert un lavage au sable, qui est très couteux. Les organisateurs pensent aux étudiants en arts pour redécorer les murs ennuyeux de l'école. Bonne idée!

 
Anonyme
10-11-04 à 03:39

Re: Les murs coûtent chers!

Oui en effet, ça ferait changement des murs jaunes, blancs et de couleurs déprimante. On pourrait donner ce mandat aux étudiants en art.

 
Audreyelise
03-12-04 à 21:41

Les avis divergent

Et voilà ce qui a de merveilleux dans une démocratie moderne où chacun à droit de parole, et où plusieurs d'entre eux ne connaissent même pas de quoi ils parlent. (et ça, ça me met hors de moi!!!)

Bon, tout d'abord le comité de mobilisation de l'UQAM (constitué d'individus uqamiens qui n'ont aucune affiliation avec une association étudiante précise) a reconnu être responsable des graffitis au deuxième du pavillon Hubert-Aquin. Ceux-ci ont été fait lors du Bed-In, tenu le 13 octobre au soir dans cette partie (seulement) de l'UQAM, qui regroupe plusieurs modules de programmes de sciences humaines.(qui sont habituellement très pro-actifs lorsqu'on parle d'actions étudiantes!)

Après les actions posées, certains ont crié haut et fort au vandalisme, mais il faut reconnaître dans ce cas-ci, que malgré tout les cours et autres activités apparentéses à ce secteur de l'UQAM peuvent toujours avoir lieu dans ces locaux, qu'aucun mobilier ou fourniture scolaire n'a été brisé ou volé. Alors, de ce point de vue, crier à un acte criminel...porte à réfléchir.

Deuxièment, la direction de l'établissement a été très prompte à sauter aux conclusions attivent, cherchant à tout prix des coupables...(ce qui n'a pas facilité les bonnes intentions prises par le comité de MOB UQAM; comme de repeindre les murs avec les suggestions des uqamiens/uqamiennes et ainsi se sauver du 50 000$ chargé aux associations facultaires de l'Université).

Au contraire, sans avertir le comité MOB, qui avait pré-alablement signifié à la direction son intention de consultation public auprès des étudiants afin de connaître leurs goûts face à la futur ''déco'' du deuxième, des employés sont venus en catimini repeinturer les murs! Mais quel pied de nez aux étudiants à qui les murs appartiennent autant qu'à la direction, car l'école au Québec est une institution public; un bien collectif!

Alors, à nous de se poser des questions à savoir si quelques graffitis sont plus dommageables que des coupures drastiques dans notre système d'éducation?

Combien vaut le droit d'être entendu? et sommes-nous encore capable de faire preuve de tolérance et de compréhension face à des individus qui ont reconnus que certaines de leurs actions avaient porté péjudices à la liberté d'autruis. Soyons un pleu plus ouverts SVP!


 


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